Soins pédiatriques spécialisés à Philadelphie

[Logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie]

Sean Waldron :

L’une des choses qui est probablement la plus surprenante lorsque vous entrez dans cet hôpital est à quel point tout le monde est heureux. Qu’il s’agisse des patients eux-mêmes, des infirmières et des médecins des cliniques, tout le monde dans ce bâtiment est heureux d’être ici.

Gregory Passanante, DNP, MBA, RN, administrateur du marché du Nord-Est :

En observant la façon dont nos cliniciens prodiguent des soins, vous pouvez constater non seulement la compassion dont ils font preuve, mais aussi leurs compétences. Et ils forment véritablement une équipe de classe mondiale.

Dr Amer F. Samdani, chef du département de chirurgie, neurochirurgien :

Je dirais que le facteur numéro un qui nous différencie des autres institutions est que nous disposons d’une gamme complète de soins. Nous avons nos chirurgiens, notre équipe thérapeutique, notre équipe d’orthèses, le tout sous une même bannière.

Calli Clark, MSPO, CPO/L, directrice des orthèses et prothèses :

Aux Hôpitaux Shriners, dans le département d’orthèses et de prothèses, tous nos cliniciens sont des spécialistes pédiatriques. Nous nous concentrons donc exclusivement sur les besoins des enfants. Et ceux des enfants ne sont pas les mêmes que ceux des adultes. Il faut aborder chacun d’eux comme un individu unique, car ses objectifs, ses capacités, ses rêves sont tous différents.

Jenny, la mère d’Aurora :

Les Hôpitaux Shriners voulaient s’assurer que nous puissions l’équiper et en prendre soin dans son intégralité et pas seulement penser à un seul endroit de son corps. Et j’aime vraiment qu’ils me demandent mon avis sur certaines choses, car c’est vrai, personne d’autre ne connaît un enfant comme sa mère ou son père. Elle ne savait même pas que c’était un hôpital, car les Hôpitaux Shriners ne sont pas des hôpitaux, ce sont des endroits spéciaux pour des enfants spéciaux.

Calli Clark :

Savoir comment travailler avec les enfants et leurs familles distingue vraiment les Hôpitaux Shriners par rapport à d’autres établissements d’orthèses et de prothèses.

[Carte titre] Logo du MAC Lab & Sports Medicine, Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie

Ross Chafetz, PT, DPT, Ph. D., MPH, directeur corporatif des Centres d’analyse du mouvement :

L’analyse du mouvement est vraiment cool. Ce que nous faisons, c’est que nous utilisons la technologie hollywoodienne qui place des marqueurs et qui numérise la façon dont les gens se déplacent. Mais plutôt que de faire un film d’action, nous prenons les informations que nous recueillons et nous les rassemblons dans un seul rapport. À partir de là, nous pouvons voir quels déficits doivent être traités, qu’il s’agisse d’une intervention chirurgicale, d’une rééducation ou peut-être simplement de médicaments.

Dr Sean Waldron, chirurgien orthopédiste, médecine sportive :

Historiquement, la technologie a été utilisée pour nous aider à prendre soin des enfants atteints de maladies neuromusculaires comme la paralysie cérébrale. Ici, aux Hôpitaux Shriners, nous l’utilisons également pour la médecine sportive. Nous leur faisons faire plusieurs mouvements spécifiques à certains sports, comme sauter, couper, décélérer, accélérer... Des choses qu’ils feraient normalement en faisant du sport. Et nous pouvons déterminer s’ils sont prêts à y retourner.

Ross Chafetz :

Les Hôpitaux Shriners sont l’un des rares endroits où vous pouvez obtenir une analyse du mouvement. Et la façon dont nous numérisons le mouvement et que nous l’analysons en équipe, c’est vraiment une merveilleuse technique. C’est vraiment un travail d’équipe avec certains des meilleurs.

Sean Waldron :

Nous avons deux physiothérapeutes différents qui viennent à des moments différents, nous avons également une nutritionniste, puis nous avons un fournisseur de soins en médecine physique et réadaptation non chirurgicale. Les personnes à qui je parle le plus sont probablement les physiothérapeutes.

Mallory Meyer, PT, DPT, physiothérapeute principale :

Ce que j’aime tant ici, c’est que vous avez toute une équipe de personnes qui discutent de votre cas et qui résolvent votre problème avant même que vous n’arriviez, quel que soit votre moyen de transport pour venir ici. Et je ne pense pas qu’il y ait beaucoup d’endroits, voire aucun, qui aient déjà une équipe entière désignée pour cette préparation. C’est un gros avantage de l’Hôpital Shriners ici à Philadelphie.

Jessica Zawrotny, MS, OTR/L, ergothérapeute :

En tant qu’ergothérapeute aux Hôpitaux Shriners, c’est vraiment cool de pouvoir évaluer ce qui est important pour chaque patient spécifique avec lequel je travaille afin que ce soit ce que nous priorisons en thérapie. Nous travaillons donc à atteindre les objectifs qui sont importants pour ce patient et sa famille, et pour savoir dans quels domaines il souhaite être plus indépendant.

Jacqueline, la grand-mère de Jaydin :

Chaque semaine est meilleure que la semaine précédente. Et c’est en grande partie parce que je crois qu’ils sont attentionnés. C’est aussi un travail d’équipe, mais cela se traduit par une ambiance familiale et de proximité.

Denise Carr, CRNP, infirmière praticienne pédiatrique :

Lorsque vous venez aux Hôpitaux Shriners, vous avez des gens qui se soucient vraiment de vous, non seulement pendant votre séjour à l’hôpital, mais aussi pour s’assurer que vous avez tout ce dont vous avez besoin à votre retour à la maison. J’ai l’impression que nous travaillons non seulement pour vous offrir une expérience qui change votre vie, mais également pour nous assurer que votre vie change lorsque vous rentrez chez vous.

Kim Curran, infirmière autorisée, BSN, ACM-RN, gestionnaire des soins infirmiers :

Le bien-être émotionnel et psychologique des patients est extrêmement important, car s’ils ne sont pas dans un bon état, ils ne réussiront pas et ne pourront pas se rétablir.

Olivia, patiente à l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie :

Avant l’opération, j’avais très mal. C’est difficile de vivre comme ça quand on souffre constamment. Et après être venue aux Hôpitaux Shriners, je me sens plus forte. Je me sens comme si j’étais moi-même.

Scott, le père d’Olivia :

Cela vous fait simplement vous sentir à l’aise. Et en tant que parent, c’est très important. Et nous adorons les Hôpitaux Shriners.

Christine, la mère d’Olivia :

Oui. Il n’y a aucun problème à amener notre fille ici pour qu’elle soit soignée.

Dr Scott Kozin, médecin-chef, chirurgien des membres supérieurs :

Les parents ont le choix : nous voulons qu’ils nous choisissent pour ce que nous leur proposons. Et ce n’est pas seulement une question de soins médicaux, mais aussi de culture.

Kimberly, la mère de Ryan :

Nous avons toujours été accueillis par les personnes les plus chaleureuses et les plus gentilles. Elles sont venues et ont non seulement pris soin de mon fils, mais elles ont également pris soin des membres de la famille qui étaient là pour s’assurer que les voix étaient entendues, que l’approche d’équipe était présente et que Ryan était finalement pris en charge de la meilleure façon possible.

Ryan, patient à l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie :

Cela compte tellement pour moi. Ils ont pu m’aider à être plus à l’aise et ainsi pouvoir participer à des cours de gym, à des activités extérieures, à des sports en dehors de l’école. Et je n’aurais jamais pensé que je serais capable de faire ça. Et je suis si heureux que les Hôpitaux Shriners pour enfants m’aient aidé à traverser cette épreuve.

[Carte titre] Soins de la scoliose et de la colonne vertébrale, logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie

Dr Amer F. Samdani, chef du département de chirurgie, neurochirurgien :

Dans notre système Shrine, nous prenons en charge l’ensemble des troubles de la colonne vertébrale observés chez les enfants.

Dr Josh Pahys, chirurgien pédiatrique de la colonne vertébrale :

Du plus simple au plus complexe. Il y a les tensions dans le bas du dos, les douleurs dues aux blessures sportives, la scoliose infantile, la paralysie cérébrale, bref tout ce qui touche à la colonne vertébrale, de la naissance jusqu’à 18 à 21 ans en gros.

Amer F. Samdani :

Je suis particulièrement fier que, grâce à notre hôpital, nous ayons pu obtenir l’autorisation de la FDA pour un traitement non lié à la fusion pour ces enfants, appelé fixation du corps vertébral.

Dr Steve Hwang, chirurgien pédiatrique de la colonne vertébrale, neurochirurgien :

La fixation du corps vertébral est une méthode innovante pour le traitement de la scoliose. Nous pratiquons des incisions plus petites et nous insérons une vis dans le corps vertébral ainsi qu’une ancre qui attache une corde légèrement tendue. Et cela nous permet d’appliquer une force sur un côté de la colonne vertébrale afin de pouvoir réellement corriger la scoliose, ce qui permet à la croissance de l’enfant de contribuer également à corriger la courbe au fil du temps. Il s’agit d’une option de traitement avec une croissance, essentiellement chez le bon patient. Il faut donc identifier le moment idéal pour réaliser cette intervention chirurgicale si elle est nécessaire afin d’optimiser les résultats chez les enfants.

Josh Pahys :

Et toutes les personnes qui sont impliquées dans ce projet incarnent réellement la mission des Shrine. Elles viennent toutes ici chaque matin et repartent chaque soir avec le même objectif en tête : prendre soin du patient et de sa famille. Et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous venons tous ici et aimons travailler ici : c’est l’effort d’équipe, l’effort familial que nous y mettons, qui, je pense, nous distingue vraiment.

Amer F. Samdani :

Le plus important est que nous serons à vos côtés et que nous travaillerons ensemble pour garantir le meilleur résultat possible.

Scott Kozin :

Alors, lorsque vous aurez besoin de soins pour votre enfant, je vous invite à considérer les Hôpitaux Shriners pour enfants. C’est le meilleur endroit pour prendre soin de votre enfant en cas de problèmes médicaux complexes ou même de problèmes médicaux simples. Vous apprécierez l’expérience, vous ressentirez la culture et nous prendrons soin de votre enfant de la meilleure façon possible.

[Carte de titre] (215) 430-4000, www.shrinerschildrens.org, logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie

Logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie

Colbi, patient à l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie :

Ce qui s’est passé avec mon accident, c’est qu’un conducteur ivre nous a percutés de plein fouet. Ma tête s’est fendue d’un endroit à l’autre, et mon cou s’est cassé. Je suis arrivé ici, et depuis, je travaille dur avec de la thérapie. C’était effrayant au début. J’avais peur, mais ça va mieux.

Amanda, la mère de Colbi :

À la maison au Vermont, nous avons une grande famille dans notre communauté. Il y a beaucoup de ressources affiliées aux Hôpitaux Shriners, donc quand Colbi s’est blessé, c’est la première chose dont tout le monde nous parlait. Ils me disaient : « Tu dois aller aux Hôpitaux Shriners. »

J’ai parcouru un long chemin avec la transition de ses mains et la possibilité de s’asseoir droit et de parler. Je dirais que leurs thérapeutes sont incroyables. Ils sont définitivement prêts à répondre aux besoins des enfants, ils sont prêts à aller au-delà pour obtenir l’équipement dont ils ont besoin pour que les enfants puissent faire ce dont ils ont besoin pour continuer à vivre de manière indépendante.

Colbi :

L’un des meilleurs thérapeutes ici, Sean, est sorti et m’a acheté un chandail polo sans même que je le lui demande. Je ne sais pas, ils...

Amanda :

Ils sont tout simplement très accueillants.

Colbi :

Ils font plein de trucs. Ils font des choses pour vous que les hôpitaux normaux ne feraient pas.

[Carte de titre] Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie

[Logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie]

Dr Sean Waldron, chirurgien orthopédiste, médecine sportive :

J’aime ce que je fais parce que je peux vraiment faire une différence dans la vie des gens. J’espère que parce que j’ai fait partie de la vie de cette personne, elle a eu un meilleur résultat grâce à cela et grâce à moi.

Denise Carr, CRNP, infirmière praticienne pédiatrique :

L’équipe, les médecins, les infirmières, ça n’a pas de prix. Vous ne pouvez l’obtenir nulle part ailleurs. J’ai choisi de travailler aux Hôpitaux Shriners parce que j’ai l’impression que nous travaillons non seulement pour vous offrir une expérience qui change votre vie, mais aussi pour nous assurer que votre vie change lorsque vous rentrez chez vous.

Ross Chafetz, PT, DPT, Ph. D., MPH, directeur corporatif des Centres d’analyse du mouvement :

J’aime ce que je fais parce que j’aide les enfants d’une manière qui est introuvable ailleurs. Notre capacité à utiliser la technologie, à travailler en équipe et à analyser les informations pour améliorer la vie d’un enfant ne peut tout simplement pas être réalisée ailleurs de meilleure façon.

Kim Curran, infirmière autorisée, BSN, ACM-RN, gestionnaire des soins infirmiers :

J’aime vraiment ce que je fais aux Hôpitaux Shriners parce que je peux faire une différence, et cela, pour moi, est incroyable. Voir les gens arriver à l’hôpital avec une nouvelle blessure, une nouvelle maladie, et voir où ils en sont lorsqu’ils en sortent, et savoir que je n’en étais qu’une petite partie, me fait revenir jour après jour.

Jaydin, patient souffrant d’une lésion de la moelle épinière :

Aux Hôpitaux Shriners pour enfants, j’ai parcouru un long chemin. Mon parcours a été exceptionnel. Je me suis tellement amélioré. Merci à tous les thérapeutes, les infirmières et le personnel qui ont été là pour me garder la tête haute et qui m’ont permis de rester concentré.

Dr Amer F. Samdani, chef du département de chirurgie, neurochirurgien :

Il n’y a aucun endroit qui puisse se comparer aux Hôpitaux Shriners. Nous avions imaginé exercer la médecine sans avoir à nous soucier de savoir si un patient pouvait se permettre de payer ses soins. Malheureusement, la réalité des soins médicaux d’aujourd’hui est telle que les chirurgiens et les médecins doivent en tenir compte, car c’est ainsi que fonctionne notre système, sauf aux Hôpitaux Shriners. Les Hôpitaux Shriners nous permettent de pratiquer la médecine de la même manière que nous pensions pouvoir le faire lorsque nous avons choisi ce domaine. C’est vraiment une utopie médicale.

[Carte titre] Ce que nous faisons est possible... Grâce à vous.

[Carte titre de fin] Logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie

[Logo de l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie]

Kimberly, la mère de Ryan :

J’ai eu mon deuxième enfant, Ryan. Il est né en novembre 2007 et malheureusement, il a eu une blessure au plexus brachial en raison de son poids de 10 livres, 14 onces et de sa longueur de 23 pouces. Par conséquent, il s’est retrouvé aux soins intensifs pendant plusieurs jours. Pendant que nous étions dans l’unité de soins intensifs néonatals, plusieurs médecins et infirmières n’arrêtaient pas de me donner le nom du Dr Scott Kozin. J’ai rapidement passé un coup de fil et j’ai pu être vue alors que mon bébé avait six semaines. Nous avons eu la chance d’être sous ses soins depuis.

Ryan, patient à l’Hôpital Shriners pour enfants de Philadelphie :

Je me souviens juste qu’à chaque fois que nous venions, c’était toujours agréable. On voulait être là. Et même si la situation n’était pas terrible, je comprenais que tout le monde était là pour m’aider. Je dirais que les médecins et les spécialistes nous donnaient l’impression d’être nos amis, presque comme une famille. Ils étaient vraiment proches de nous et ils ont fait en sorte de connecter.

Kimberly :

Lorsque nous sommes arrivés à l’Hôpital Shriners, ils nous ont donné un sentiment d’espoir et nous ont dit : "Oui, il existe un moyen et un avantage de le faire", et c’est l’Hôpital Shriners qui a permis à mon fils de devenir aujourd’hui un défenseur de premier plan pour nos équipes de crosse dans tout le pays.

Ryan :

Je joue dans des équipes nationales. Je suis allé en Californie. J’étais dans le Maryland la fin de semaine dernière pour participer à un tournoi. Je n’aurais jamais pensé pouvoir faire ça, et je suis tellement heureux que les Hôpitaux Shriners pour enfants m’aient aidé à traverser cette épreuve.

Kimberly :

Je dirais simplement : allez-y. Allez-y. Écoutez les gens, ressentez l’amour, ressentez la compassion, ressentez l’expertise. Il y a une raison pour laquelle ils existent, et si vous avez la possibilité de fournir à votre enfant ce niveau exceptionnel de soins, votre enfant en bénéficiera de toutes les manières possibles.

Ryan :

C’est incroyable. J’aurais beaucoup à dire à ce sujet. C’est le meilleur endroit où vous pouvez être pour ce dont vous avez besoin, pour ce dont j’avais besoin et même pour ce dont mes parents avaient besoin. C’est le meilleur endroit où vous pouvez aller.

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Dr Amer F. Samdani, chef du département de chirurgie, neurochirurgien :

Lorsque nous regardons de près nos soins de la colonne vertébrale, le facteur numéro un qui nous différencie des autres institutions est que nous disposons d’une gamme complète de soins. Lorsqu’un enfant arrive avec une scoliose ou une courbure de la colonne vertébrale, il peut consulter un large éventail de différents fournisseurs de soins de santé, lors d’une seule visite.

Dr Josh Pahys, chirurgien pédiatrique de la colonne vertébrale :

Aux Hôpitaux Shriners pour enfants, nous avons des chirurgiens orthopédiques de la colonne vertébrale ainsi que des neurochirurgiens. Nous travaillons tous ensemble, nous prenons soin des enfants et nous apprenons de nos deux domaines d’expertise. Ici, l’équipe médicale, l’équipe d’orthésistes, l’équipe de physiothérapie sont au sommet de leur art. Je pense que nous sommes tous présents lors de rencontres nationales ou internationales. Nous publions des données qui changent la façon dont d’autres centres à travers le pays, et dans le monde entier, prennent soin des patients. C’est excitant d’en faire partie.

Amer F. Samdani :

Depuis 50 ans, la norme des soins pour les patients atteints de scoliose est la fusion vertébrale. Mais les patients ont désormais une autre option. Nous avons été pionniers dans notre hôpital et nous avons travaillé avec la FDA en 2019 pour obtenir leur approbation pour un traitement non lié à la fusion pour ces enfants, que l’on appelle fixation du corps vertébral.

Dr Steve Hwang, neurochirurgien, chirurgien pédiatrique de la colonne vertébrale :

La fixation du corps vertébral est une méthode innovante pour le traitement de la scoliose. Nous faisons de plus petites incisions pour mettre une vis dans le corps vertébral, qui est la plus grande partie de la colonne vertébrale, et pour mettre une ancre qui fixe une sorte de corde avec un peu de tension. Cela nous permet d’appliquer une force sur un côté de la colonne vertébrale afin de pouvoir corriger la scoliose, ce qui permet à la croissance de l’enfant de contribuer également à corriger la courbe au fil du temps.

Vous souhaitez identifier le moment idéal pour réaliser cette intervention chirurgicale, si elle est nécessaire, afin d’en optimiser les résultats chez les enfants.

Josh Pahys :

Toutes les personnes qui sont impliquées dans ce projet incarnent véritablement la mission des Hôpitaux Shriners. Elles viennent toutes ici chaque matin et partent chaque soir avec le même objectif en tête : prendre soin du patient et de la famille. C’est l’une des raisons pour lesquelles nous venons tous ici et que nous aimons travailler ici. C’est l’effort d’équipe, l’effort familial que nous y mettons qui, je pense, nous distingue vraiment.

Amer F. Samdani :

Le plus important, c’est que nous soyons à vos côtés. Ajoutez à ça une technologie de pointe, avec un environnement qui favorise les soins centrés sur le patient, où les patients ont vraiment le sentiment de faire partie d’une grande famille... C’est ce qui nous distingue.

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