Rencontrez le Dr Daniel N. Driscoll, FACS

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Dr Daniel N. Driscoll, FACS, chirurgien plastique, Hôpital Shriners pour enfants de Boston Je m’appelle Dan Driscoll. Je suis chirurgien plastique à l’Hôpital Shriners pour enfants de Boston. J’ai commencé mes études universitaires en travaillant dans des salles d’opération, dans le cadre du service d’entretien ménager. J’ai travaillé comme technicien au nettoyage. J’ai toujours été attiré par le domaine chirurgical. J’étais en formation de chirurgie générale quand j’ai été exposé à la chirurgie plastique. J’en suis vraiment tombé amoureux. Je ne savais pas vraiment grand-chose sur ce qui était disponible ici, mais j’ai vite commencé à aimer dès que j’ai commencé. Nous jetons un nouveau regard sur l’enfant après la guérison de ses brûlures. Beaucoup de choses non liées à la chirurgie peuvent se faire. Nous travaillons avec les thérapeutes, nous travaillons avec les chirurgiens généralistes, nous travaillons avec les familles et nous voyons ce qui dérange le plus l’enfant. Nous travaillons beaucoup plus avec les lasers. Il y a aussi des innovations en termes de substituts cutanés, et beaucoup d’innovations dans le domaine de la chirurgie plastique et de la chirurgie des brûlures qui ont rendu notre travail de plus en plus facile pour les patients. Il faut tisser des liens avec le patient et sa famille pour leur faire comprendre qu’on est là pour eux, qu’on défend leurs intérêts et qu’on fait tout notre possible pour les aider. Mais il faut aussi leur créer des attentes raisonnables. Nous ne pouvons donc pas faire disparaître les cicatrices d’un coup de baguette magique, mais nous pouvons les améliorer. Nous pouvons soulager leurs démangeaisons. Les Hôpitaux Shriners leur ont ouvert leurs portes, et nous pouvons essayer d’évaluer le problème et ensuite déterminer ce que nous pouvons faire pour eux. Je dirais qu’au moins 50 % de mes patients sont internationaux. Lorsque les problèmes sont beaucoup plus complexes, nous obtenons souvent l’approbation des Shriners pour les amener ici et réaliser certains des soins les plus complexes ici, dans la région de Boston. Quand nous ne pouvons pas prendre soin d’eux là-bas, nous pouvons prendre soin d’eux ici. Et il n’y a rien de plus gratifiant que cela.